Points à retenir :
- La croissance et la chute des cheveux dépendent de l’équilibre entre plusieurs enzymes capillaires.
- La 5α-réductase, est une enzyme qui transforme la testostérone en DHT, favorisant la miniaturisation des follicules et entrainant la chute chronique.
- Une enzyme capillaire centrale, la PKC, joue un rôle déterminant dans l’équilibre global des enzymes, sa concentration varie sous l’effet de facteurs extérieurs ou hormonaux entrainant une accélération de la chute et une faible croissance.
- La B-Capipéline® de Poméol, riche en polyphénols, régule cette enzyme centrale, accélérant la pousse, le renouvellement capillaire et la réduction de la chute.
- La supplémentation en nutriments (vitamines, acides aminés, extraits de plantes) ne suffit pas : il est essentiel d’agir directement sur les enzymes capillaires pour garantir une efficacité durable.
Pourquoi les enzymes sont-elles essentielles à la vie du cheveu ?
Un cheveu n’est pas un simple filament inerte : c’est une structure vivante, fabriquée par le follicule pileux, une petite usine biologique nichée sous le cuir chevelu. Chaque cheveu suit un cycle précis :
- Phase anagène (croissance) : dure plusieurs années, c’est la phase où le cheveu pousse activement.
- Phase catagène (transition) : courte période où l’activité du follicule ralentit. -
- Phase télogène (repos et chute) : le cheveu finit par tomber remplacé par un nouveau.
Ce cycle est régulé par des mécanismes biochimiques complexes, dans lesquels les enzymes occupent une place centrale. Ces protéines spécialisées fonctionnent comme des régulateurs : certaines favorisent la division des cellules du follicule et donc la croissance du cheveu, tandis que d’autres déclenchent ou accélèrent sa chute. L’équilibre entre ces différentes enzymes conditionne directement la densité et la vitalité de la chevelure.
Les principales enzymes impliquées dans la chute ou la pousse
Enzymes favorisant la chute
- 5α-réductase : transforme la testostérone en DHT (dihydrotestostérone), molécule responsable de la miniaturisation progressive des cheveux. C’est l’un des mécanismes clés de l’alopécie androgénique.
- PGD2 synthase : fabrique la prostaglandine D2, une molécule identifiée comme un puissant inhibiteur de la pousse.
- MMPs (métalloprotéinases) : enzymes qui participent au remodelage des tissus, mais lorsqu’elles sont trop actives, elles fragilisent l’ancrage du cheveu.
Enzymes favorisant la pousse
- Aromatase : transforme certains androgènes en œstrogènes protecteurs, qui prolongent la croissance des cheveux, surtout chez la femme.
- Kinases ERK / Akt : interviennent dans la signalisation cellulaire, stimulant la division et la régénération du follicule.
- Enzymes antioxydantes (SOD, catalase, glutathion peroxydase) : neutralisent les radicaux libres, protégeant ainsi le bulbe du stress oxydatif.
La PKC : l’enzyme centrale qui module toutes les autres
Lorsqu’elle est équilibrée, elle maintient une harmonie entre les enzymes de pousse et celles de chute. Mais lorsqu’elle devient trop active, elle stimule les enzymes plus néfastes et freine les enzymes favorables.
Son action clé dans la chute : en effet, la PKC peut se suractiver sous l’effet de différents facteurs tels que le stress, certains médicaments, le soleil ou encore les changements de saison. Cette suractivation perturbe le cycle naturel du cheveu et constitue l’une des causes principales des pertes de cheveux.
Résultat : Le cycle de cheveu se dérègle, la chute s’accélère et la repousse se fragilise.
Il existe plusieurs isoformes de la PKC, c’est-à-dire plusieurs formes différentes de cette enzyme. Certaines sont impliquées dans la chute, d’autres non. L’innovation de Poméol avec la B-Capipéline® est de cibler spécifiquement l’isoforme associée à la perte capillaire.
Pour en savoir plus sur les différents facteurs déclenchants et comprendre la différence entre chute passagère et chute chronique, nous vous invitons à lire notre article : Chute passagère ou chute chronique, comment faire la différence ?
Tableau 1 : Impact de la PKC sur les principales enzymes capillaires
Enzymes hormonodépendantes vs non hormonodépendantes
Toutes les enzymes capillaires ne dépendent pas des hormones. On distingue :
-
Enzymes hormonodépendantes :
- 5α-réductase : agit sur la testostérone et produit la DHT
- Aromatase : convertit les androgènes en œstrogènes protecteurs -
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Enzymes non hormonodépendantes :
- PGD2 synthase, MMPs, enzymes antioxydantes, ERK / Akt Ce qui rend la PKC si particulière, c’est qu’elle régule les deux familles. Elle peut stimuler les enzymes néfastes, qu’elles soient hormonales ou non, et freiner celles qui protègent.
L’approche Poméol pour répondre à toutes les chutes de cheveux
Inhiber la PKC grâce à la B-Capipéline®
Poméol a développé un actif exclusif dans ses compléments alimentaires cheveux, la B-Capipéline®, extraite de la peau de pommes immatures et particulièrement riche en polyphénols. Cet actif cible l’isoforme spécifique de la PKC responsable de la chute.
En inhibant cette enzyme centrale, la B-Capipéline® agit donc en amont de toutes les autres enzymes :
- Elle réduit la production de DHT
- Elle freine la PGD2
- Elle protège l’ancrage folliculaire
- Elle réactive les enzymes favorables.
Résultats visibles :
- Croissance 2 fois plus rapide des cheveux et des ongles pour 68% des volontaires* -
- -55% de perte de cheveux après brossage après 90 jours*
- 100% des volontaires sont satisfaits de l'amélioration perçue sur la densité des cheveux et des ongles après 90 jours*
*Étude d'efficacité et de satisfaction menée sur 25 volontaires pendant 90 jours (3 boîtes).
Chaque formule capillaire Poméol associe la B-Capipéline® à un complexe de Nutricibles, à des vitamines, des minéraux et des extraits végétaux ciblés (roquette, myrtille, poivre noir, …). Cette combinaison permet donc une action transversale.
Conclusion
Les enzymes sont de véritables régulateurs du cycle capillaire. Certaines soutiennent la pousse, d’autres accélèrent la chute. Toutes sont modulées par une enzyme centrale capillaire : la PKC.
En inhibant spécifiquement cette enzyme grâce à la B-Capipéline®, Poméol agit directement au cœur du follicule pileux, rééquilibrant l’ensemble du système enzymatique.
Résultat : une chevelure préservée, une densité maintenue et une croissance relancée. Poméol s’impose donc ainsi comme une solution unique, experte et scientifiquement fondée pour soutenir la longévité capillaire.