chute cheveux

Chute passagère ou chute chronique : comment faire la différence ?

Découvrez comment les distinguer et les solutions pour freiner la perte capillaire efficacement.

Les enzymes clés de la pousse et la chute des cheveux Vous lisez Chute passagère ou chute chronique : comment faire la différence ? 6 minutes Suivant Pourquoi perd-on ses cheveux en vieillissant ?

Points à retenir :

  • La chute des cheveux peut être ponctuelle (passagère) ou durable (chronique), et les deux ne se gèrent pas de la même façon.
  • La chute passagère est temporaire, liée au stress, au soleil, à la fatigue ou à certains médicaments, et se résout naturellement.
  • La chute chronique est hormonale et progressive, souvent plus marquée chez les hommes, mais également présente chez les femmes (ménopause, grossesse, post-partum).
  • Les compléments alimentaires Poméol, grâce à la B-capipéline®, agissent sur une enzyme capillaire centrale impliquée dans tous les types de chute.
  • Il ne suffit pas de se complémenter en nutriments (vitamines, acides aminés, extraits de plantes) : une action ciblée sur les enzymes capillaires est indispensable pour obtenir une efficacité durable.

Qu’est-ce qu’une chute passagère ?

Il est courant d’observer une perte de cheveux plus marquée à l’automne, parfois au printemps. Ce phénomène, aussi appelé chute passagère ou chute ponctuelle/saisonnière, est naturel et touche hommes comme femmes. Chaque cheveu suit un cycle de croissance : 

  • Phase anagène : dure plusieurs années, le cheveu pousse activement.
  • Phase catagène : courte période où le follicule ralentit son activité.
  • Phase télogène : le cheveu meurt et finit par tomber, remplacé par un nouveau.

En moyenne, nous perdons 50 à 100 cheveux par jour. Lors d’une chute passagère, ce chiffre peut doubler, mais sans conséquence durable.

Facteurs déclenchants

Le soleil ou une faible luminosité

Les expositions solaires répétées ou une faible exposition à la lumière dérèglent notre système enzymatique capillaire responsable de la croissance.

Les médicaments, le stress nerveux, la fatigue

Ils peuvent entrainer une altération enzymatique au niveau du bulbe capillaire.

Les facteurs environnementaux

Température, humidité, pollution, etc… fragilisent le cuir chevelu et l’ancrage des cheveux. 

Le stress oxydatif accru

Les UV, le sel et le chlore de l’été abîment les follicules et assèchent la fibre capillaire, ce qui entraine plus de casses et de chutes.

Dans le cas d’une exposition prolongée à un ou plusieurs de ces facteurs déclenchants, la production d’une enzyme centrale, impliquée dans la pousse, est modifiée. Les cheveux poussent plus lentement, ils sont plus petits, plus fins, ils cassent et chutent.

Cependant, ce processus de chute est réversible. Le bulbe capillaire reste intact et peut reprendre son fonctionnement normal une fois cette période de surexposition aux facteurs déclenchants terminée. C’est pourquoi la chute ponctuelle (saisonnière ou réactionnelle) n’entraîne aucune conséquence durable. Elle peut aussi être limitée par une action sur la régulation de cette enzyme centrale qui booste la croissance et freine considérablement la chute.

Qu’est-ce qu’une chute chronique ?

A la différence de la chute saisonnière, la chute chronique du cheveux est un phénomène hormonal et progressif. Elle se manifeste par un affinement des cheveux et une perte durable de densité. Elle touche aussi bien les hommes ou les femmes, a différents âges, mais sous l’effet de facteurs déclenchants différents.

Facteurs déclenchants

  • Facteurs génétiques
  • Avancement de l’âge
  • Bouleversements hormonaux

Chez la femme : grossesses, post-partum, ménopause, ..

Chez l’homme : andropause (baisse progressive de la testostérone)

Le rôle des hormones dans la chute chronique

Chez les hommes comme chez les femmes, l’une des causes majeures est l’action de la 5α-réductase, une enzyme qui transforme la testostérone en DHT (dihydrotestostérone). La DHT agit comme un signal négatif pour le follicule :

  • Elle raccourcit la durée de la phase de croissance
  • Elle accélère la chute.
  • Elle provoque une miniaturisation du cheveu, qui devient plus fin jusqu’à disparaître.

C’est pourquoi la chute chronique est particulièrement marquée chez les hommes (plus riches en testostérone), mais aussi chez les femmes après la ménopause par exemple.

Contrairement à la chute passagère, la chute chronique ne se corrige pas spontanément : elle nécessite une prise en charge continue pour ralentir son évolution. En particulier, elle implique une action à contre temps au niveau enzymatique.

Comment limiter les chutes au quotidien ?

Limiter les agressions extérieures

Protéger ses cheveux du soleil, éviter les expositions prolongées aux UV, chlore et sel.

Adopter une alimentation adaptée

Privilégier les aliments riches en vitamines B, C, D, E, en minéraux, en acides aminés et en antioxydants. 

Privilégier certains actifs naturels 

Les pépins de courge et le thé vert freinent l’action de la 5α-réductase.

La roquette, le poivre noir, le vinaigre de cidre, … qui soutiennent la vitalité du bulbe.

Soutenir sa chevelure par des compléments alimentaires

L’approche antichute Poméol

Poméol se distingue en agissant sur tous les types de chutes, qu’elles soient passagères ou chroniques.

L’actif exclusif B-capipéline®, extrait de la peau de pommes immatures et riche en polyphénols, agit directement sur une enzyme capillaire centrale impliquée dans le cycle du cheveu.

En rééquilibrant cette enzyme, la B-capipéline® contribue à :

  • Freiner la chute
  • Stimuler la pousse
  • Protéger la longévité capillaire

Résultats visibles :

  • Croissance 2 fois plus rapide des cheveux et des ongles pour 68% des volontaires*
  • -55% de perte de cheveux après brossage après 90 jours*
  • 100% des volontaires sont satisfaits de l'amélioration perçue sur la densité des cheveux et des ongles après 90 jours*

*Étude d'efficacité et de satisfaction menée sur 25 volontaires pendant 90 jours (3 boîtes).

C’est pourquoi toutes les formules Poméol Capillaire intègrent la B-capipéline® : elles apportent une réponse globale, adaptée à chaque profil, qu’il s’agisse de chute passagère, hormonale, liée à l’âge, ou encore au stress oxydatif. 

Conclusion

La chute passagère est un phénomène réversible, souvent déclenché par des agressions extérieures comme le soleil, le stress ou la fatigue. La chute chronique, en revanche, est progressive, hormonale et durable, liée à l’action de la 5α-réductase et aux bouleversements génétiques et hormonaux.

Dans les deux cas, la clé réside dans la régulation enzymatique. L’enzyme capillaire centrale agit en effet comme un véritable chef d’orchestre : elle module l’activité de toutes les autres enzymes impliquées dans la chute et la repousse, dont la 5α-réductase. (Pour en savoir plus sur les enzymes clés de vos cheveux, nous invitons à lire notre article : Les enzymes clés de la pousse et la chute des cheveux)

C’est précisément le rôle de la B-capipéline®, qui inhibe l’action de cette enzyme centrale : la PKC. En modulant cette enzyme, Poméol agit au cœur du follicule pileux pour offrir une solution experte et efficace contre toutes les formes de chute capillaire.

Sources : 

  • https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/14996087/
  • https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18844710/
  • https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29141068/
  • https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12006122/
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